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En bref : • Suzuki confirme qu'aucun véhicule vendu en France ou dans les DOM n'est équipé d'airbags Takata à nitrate d'ammonium, les plus dangereux du scandale mondial. • Certains Grand Vitara (1998-2000) pourraient contenir un autre type d'airbag Takata présentant un risque de déploiement inadéquat, sans incident signalé à ce jour. • Une campagne de rappel lancée en janvier 2020 concerne 3 408 véhicules, avec 832 Grand Vitara déjà inspectés et potentiellement réparés. • La marque a intensifié sa communication pour inciter tous les propriétaires concernés à faire vérifier leur véhicule rapidement. |
La sécurité avant tout : Suzuki relance son alerte sur les airbags Takata.
Le scandale des airbags Takata, un des plus retentissants de l’industrie automobile, a commencé à faire des vagues au début des années 2010. Imaginez, plus de 100 millions de véhicules rappelés à travers le monde à cause de ces équipements potentiellement explosifs, projetant parfois des débris métalliques. En France, ce sont 2,5 millions de voitures qui sont concernées, et le ministère des Transports tire la sonnette d’alarme, notamment pour 1,7 million d’entre elles qui ne peuvent plus circuler. Ça fait réfléchir, n’est-ce pas ?
Suzuki tourne la page sur Takata
Dans ce contexte délicat, Suzuki tient à rassurer ses clients : aucun véhicule vendu en France, ni dans les départements d’outre-mer, n’est équipé d’airbags Takata à nitrate d’ammonium, la version la plus préoccupante. Cependant, quelques Grand Vitara fabriqués entre 1998 et 2000 pourraient avoir un autre type d’airbag Takata, qui risque de se déployer de manière inadéquate. Heureusement, aucune incident n’a été noté jusqu’à présent.
Pour parer à ce risque, la marque a agi rapidement, lançant dès janvier 2020 une campagne de rappel touchant 3 408 véhicules. Des alertes ont été diffusées à Mayotte, La Réunion, puis en Corse et en métropole. Actuellement, 832 Grand Vitara sont passés par l’atelier agréé Suzuki pour des inspections et, dans certains cas, un remplacement des airbags. C’est toujours ça de pris, non ?
Pour mieux communiquer avec les clients, Suzuki a intensifié ses efforts en utilisant diverses plateformes d’information. Le but est clair : encourager tous les propriétaires concernés à vérifier rapidement l’état de leur véhicule et clore ce chapitre épineux.

Je m’appelle Christian Robillard, passionné de véhicules électriques. J’ai toujours aimé l’innovation, mais ce qui me fascine, c’est comment une batterie peut révolutionner nos trajets. L’électrique, c’est un monde à explorer.

