En bref : • Le 16 août 1937, Harvard lance un programme pionnier d'ingénierie de la circulation en partenariat avec l'Automotive Safety Foundation et l'AAA, pour répondre à la saturation routière des villes américaines. • Ces premiers ingénieurs du trafic ont établi les fondements des méthodes d'analyse et de modélisation qui ont permis de développer limitations de vitesse, feux tricolores efficaces et plans de circulation. • L'ingénierie du trafic moderne combine aujourd'hui informatique, électronique et intelligence artificielle, s'appuyant sur des concepts élaborés dès 1937. • Les véhicules autonomes actuels utilisent des algorithmes qui automatisent les principes mis en pratique manuellement par les pionniers de Harvard. |
Les débuts de l’ingénierie de la circulation
Le 16 août 1937, l’Université Harvard a ouvert un chapitre inédit dans l’histoire des transports. À l’époque, l’idée même de voitures autonomes semblait appartenir à la science-fiction, et pourtant, des chercheurs visionnaires commençaient déjà à façonner la circulation de notre futur. Fascinant, n‘est-ce pas ?
Une initiative avant-gardiste
Dans le contexte des années 30, les villes américaines faisaient face à une saturation de la circulation. Les voitures, nombreuses, engendraient des accidents fréquents, tandis que la signalisation était encore balbutiante. C’est là qu’Harvard, en partenariat avec l’Automotive Safety Foundation et l’AAA, a mis en place un programme pour former des ingénieurs capables de décoder ces flux chaotiques.
Évoluer dans la complexité
Les pionniers de cette initiative ne pouvaient pas prédire l’avènement des radars ou des capteurs modernes, mais ils ont pourtant jeté les bases des méthodes d’analyse et de modélisation qui allaient transformer les réseaux routiers. De cette manière, les villes ont pu commencer à mettre en place des limitations de vitesse réfléchies, des feux tricolores plus efficaces et les premiers grands plans de circulation.
Une révolution technologique
De nos jours, l’ingénierie du trafic est devenue un domaine où se croisent informatique, électronique et intelligence artificielle. Les voitures autonomes d’aujourd’hui s’appuient sur des données d’infrastructures routières intelligentes, en grande partie inspirées des concepts élaborés en 1937. Les algorithmes qui animent ces véhicules ne sont, au fond, que l’automatisation des principes que les ingénieurs de Harvard avaient déjà mis en pratique manuellement.
Pour en savoir plus :
Conclusion
Qui aurait cru qu’une simple initiative universitaire pourrait tant influencer notre mobilité moderne ? Pensez-vous que l’avenir de la circulation se passera entièrement sans conducteur ? Les avancées de ces dernières décennies laissent rêveurs, n’est-ce pas ?

Je m’appelle Christian Robillard, passionné de véhicules électriques. J’ai toujours aimé l’innovation, mais ce qui me fascine, c’est comment une batterie peut révolutionner nos trajets. L’électrique, c’est un monde à explorer.