En bref : • Michelin a été reconnu par l'ADAC pour la deuxième fois consécutive comme le fabricant de pneus produisant le moins de particules d'usure, avec des émissions 26% inférieures à la moyenne des pneus premium. • L'entreprise a réduit ses émissions de particules de 5% entre 2015 et 2020, évitant environ 100 000 tonnes, dans un contexte où 500 000 tonnes sont émises annuellement en Europe par le transport routier. • Pour maintenir son avance technologique, Michelin a investi 786 millions d'euros en R&D en 2024 et collabore avec le CNRS et l'Université Clermont Auvergne. • Le nouveau pneu CrossClimate 3 Sport émet 23% de particules en moins que son homologue estival, démontrant la capacité de l'entreprise à concilier performance et responsabilité environnementale. |
Michelin à la pointe de l’innovation environnementale
Michelin a une nouvelle fois été reconnu par l’ADAC pour ses efforts remarquables dans la réduction des particules d’usure. À une époque où la pollution automobile est plus que jamais scrutée, savez-vous que les pneus jouent un rôle crucial ?
Une reconnaissance éclairante
Dans une étude récemment publiée par l’ADAC, le célèbre automobile club allemand, Michelin a été couronné pour la seconde fois consécutive comme le fabricant produisant le moins de particules d’usure. Ses émissions sont 26 % inférieures à la moyenne des pneus premium. Pas mal, non ?
Une avancée significative
Ce leadership n’est pas le fruit du hasard. En 2021 déjà, Michelin se démarquait de ses concurrents grâce à deux décennies de recherche et développement. À présent, l’entreprise affiche une avance tangible, autant sur le plan écologique que de la performance. Encore un effort louable, vous ne trouvez pas ?
Un cadre plus strict à l’horizon
La récente norme Euro 7, adoptée en juillet 2024 et prévue pour 2027, impose un cadre plus strict concernant les émissions des pneus. Cela a indéniablement poussé l’industrie à prendre conscience de ses impacts, même si l’éveil n’a pas toujours été spontané.
Un ennemi invisible
Chaque année, près de 500 000 tonnes de particules d’usure sont émises par le transport routier en Europe. Michelin a déjà réduit ses propres émissions de 5 % entre 2015 et 2020, soit environ 100 000 tonnes évitées. Pour rester dans cette dynamique, le groupe a investi 786 millions d’euros en recherche et développement en 2024, collaborant même avec le CNRS et l’Université Clermont Auvergne pour un laboratoire dédié.
Des innovations prometteuses
Le tout nouveau CrossClimate 3 Sport, qui porte la certification hiver, est un exemple frappant des progrès réalisés : il émet 23 % de particules en moins que le Pilot Sport 5, son homologue estival. Michelin semble avoir trouvé l’équation parfaite entre performance, longévité, et responsabilité environnementale.
Évolution ou révolution ?
Avec toutes ces initiatives, reste à savoir si les autres acteurs de l’industrie sauront s’harmoniser avec cet élan vers un avenir plus durable, même sans la contrainte réglementaire. Pensez-vous que cette compétition va véritablement renforcer les efforts en matière d’écologie ?
En somme, Michelin se démarque comme un précurseur dans un domaine souvent ignoré. Cela nous amène à réfléchir sur notre impact environnemental au quotidien. Que seriez-vous prêt à changer pour participer plus activement à cette lutte contre la pollution ?

Je m’appelle Christian Robillard, passionné de véhicules électriques. J’ai toujours aimé l’innovation, mais ce qui me fascine, c’est comment une batterie peut révolutionner nos trajets. L’électrique, c’est un monde à explorer.