En bref : • Tesla a reçu l'approbation des autorités canadiennes pour des subventions contestées de 43,2 millions de dollars canadiens. • L'enquête a confirmé que les 8 653 demandes de remboursement soumises en un week-end étaient légitimes, malgré les soupçons initiaux. • Malgré cette victoire juridique, Tesla reste exclu des futurs programmes de subventions iZEV au Canada. • La relation entre Tesla et le gouvernement canadien demeure tendue, avec des implications potentielles pour les 1 400 employés de l'entreprise dans le pays. |
Tesla Blanchi : Une Victoire Symbolique
Dans un contexte où les polémiques fusent et où le marché peine, c’est un vrai coup d’éclat pour Tesla. Le constructeur américain vient de recevoir le feu vert des autorités canadiennes concernant des subventions de 43,2 millions de dollars canadiens, soit environ 29 millions d’euros, contestées. Mais comment expliquer cette affaire si médiatisée ?
Une enquête qui a débrouillé l’écheveau
En janvier dernier, une pluie de 8 653 demandes de remboursement en seulement un week-end avait interpellé les autorités. Imaginez, en 72 heures, Tesla a demandé à récupérer plus de la moitié du budget restant du programme iZEV, incluant plus de 4 000 demandes d’un unique revendeur de Québec. Ça fait un peu envie, non ?
Tesla a respecté les règles du jeu
Les détracteurs n’ont pas tardé à crier au « miracle logistique », insinuant des manœuvres douteuses. Pourtant, Tesla a calmement expliqué que ces demandes correspondaient à des livraisons déjà effectuées, mais dont les formalités avaient été accélérées par l’imminence de la fin des aides. Aujourd’hui, l’enquête confirme que tout était en ordre et que les véhicules concernés étaient bel et bien éligibles. Une victoire qui permet à Tesla de récupérer les fonds gelés, une bonne nouvelle pour la firme.
Une victoire, mais des conséquences
Néanmoins, cette victoire a une saveur un brin amère. Malgré cette validation, Tesla se voit exclu des futurs programmes iZEV. Se posent alors des questions sur la communication entre Ottawa et Elon Musk, en pleine guerre commerciale. Étonnant, n’est-ce pas ? Avec 1 400 employés sur le sol canadien, la marque se dit lésée, malgré les apparences.
Ainsi, même si Tesla a prouvé sa bonne foi, la reconstruction de la confiance pourrait prendre du temps. Ce genre d’affaire pique un peu, non ? La question qui reste en suspens est : quelles seront les répercussions sur l’avenir de Tesla au Canada ?
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Je m’appelle Christian Robillard, passionné de véhicules électriques. J’ai toujours aimé l’innovation, mais ce qui me fascine, c’est comment une batterie peut révolutionner nos trajets. L’électrique, c’est un monde à explorer.