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En bref : • La première course automobile aux États-Unis, prévue le 2 novembre 1895, a été un fiasco initial avec seulement deux véhicules présents au départ. • Reprogrammée le 28 novembre (Thanksgiving), la course a finalement vu six voitures s'élancer, mais seule la Duryea a terminé le parcours après 10 heures, à la vitesse moyenne de 11 km/h. • Malgré ses déboires, cet événement a marqué une étape symbolique importante dans l'histoire de l'automobile, démontrant que la voiture à moteur était une technologie viable. • Cette course, bien que chaotique, a ouvert la voie à la révolution automobile du siècle suivant. |
Une Première Épique : La Course Automobile de 1895
Le 2 novembre 1895, un moment clé s’écrivait dans l’histoire des États-Unis : la première course automobile. Oui, vous avez bien lu ! Mais qu’y a-t-il derrière ce début prometteur d’une ère nouvelle ? Accrochez-vous, car la réalité fut bien différente des attentes.
Les Préparatifs : La Promesse d’une Compétition
Ce fameux Chicago Times-Herald Contest avait pour objectif d’opposer une dizaine de voitures sur un parcours de 85 km entre Chicago et Evanston. Pourtant, un grand froid et un amateurisme indéniable allaient gâcher la fête, comme on dit, « les belles promesses n‘engagent que ceux qui y croient ».
Un Départ Difficile
Ce matin-là, surprise : seuls deux bolides se pointent à la ligne de départ. Une Benz, importée d’Allemagne, et une Duryea, fabriquée dans le Massachusetts. Les autres concurrents, dûment retardés par des pannes à foison, illustrent parfaitement l’absurdité de la situation. Pour ne rien arranger, le journal organisateur, réalisant que l’affaire tournait au fiasco, désespère et repousse la course.
La Revanche du 28 Novembre
Finalement, la compétition est reprogrammé pour le 28 novembre, jour de Thanksgiving. Ce jour-là, six voitures parviennent enfin à s’élancer à travers le froid glacial. Toutefois, parmi ces challengers, seule la Duryea franchit la ligne d’arrivée après une interminable journée de près de dix heures, à la vitesse époustouflante de 11 km/h. De quoi faire sourire, n’est-ce pas ?
Une Découverte Symbolique
Bien que ce premier événement parisien soit couronné par un échec, il cristallise une étape importante : la voiture à moteur n’est plus un simple rêve d’inventeur, mais bien une promesse pour l’avenir de la mobilité. Alors, même si cette course américaine s’est surtout distinguée par ses mésaventures, elle a ouvert la voie à une révolution automobile au fil du siècle.
Une Époque Naissante et ses Faux Départs
Ce 2 novembre peut être perçu comme le début d’un flop mécanique… mais aussi comme la première pierre d’un rêve automobile en pleine effervescence. Un vrai paradoxe, non ?
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Des Flops aux Révolutions
En somme, cette première course automobile peut sembler, a priori, un événement raté. Mais elle a introduit des ambitions qui allaient transformer le paysage automobile. Cela ne vous fait pas réfléchir sur les chemins tortueux que prennent parfois l’innovation ?
Pour aller plus loin
Si vous souhaitez découvrir davantage sur cette aventure fascinante, je vous invite à consulter le site du Museum of Transport, où se trouvent de nombreuses histoires palpitantes sur l’évolution de l’automobile.
Conclusion
Alors, ami lecteur, que retenez-vous de cette première épreuve tumultueuse dans l’histoire automobile ? En fin de compte, chaque échec pave souvent la route vers des réussites inattendues, n’est-ce pas ?

Je m’appelle Christian Robillard, passionné de véhicules électriques. J’ai toujours aimé l’innovation, mais ce qui me fascine, c’est comment une batterie peut révolutionner nos trajets. L’électrique, c’est un monde à explorer.

